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Mariage Thaïlande
Au cabinet d’avocats Benoit & Partners, nous sommes conscients que la Thaïlande est un pays où les mariages entre ressortissants étrangers et thaïlandais sont fréquents. Cependant, il est important de reconnaître que, tout comme les mariages, les divorces en Thaïlande sont également courants et peuvent présenter des défis juridiques spécifiques.
En Thaïlande, les couples internationaux peuvent faire face à des difficultés lorsqu’ils envisagent de mettre fin à leur mariage. Les différences culturelles, les barrières linguistiques et les systèmes juridiques distincts peuvent rendre le processus complexe. Mais aussi déroutant pour les personnes concernées. C’est dans ce contexte que Benoit & Partners se définit comme un partenaire de confiance pour guider nos clients durant leur parcours pour divorcer en Thaïlande.
En tant que cabinet spécialisé dans le droit des affaires, nous avons développé une expertise solide dans ce domaine. Notre équipe d’avocats possède une connaissance approfondie des lois thaïlandaises relatives au divorce. Ainsi qu’une compréhension des procédures légales et des formalités requises.
Table des matières
Le Mariage Franco Thaï en Thaïlande
Le mariage en Thaïlande est plus qu’un simple mariage, et il repose sur une tradition très profonde qui fait partie de la culture du pays. Le mariage Franco Thai en Thaïlande est devenu très populaire ces dernières années, car il est devenu un type de mariage plus ouvert. Toutefois, l’inconvénient d’un tel mariage est que les problèmes légaux inhérents au mariage en tant que couple international. Les mariages résultant de la combinaison de différentes cultures, lois et systèmes judiciaires peuvent être accablants, contraignants et risqués.
C’est pourquoi il est essentiel de disposer d’un cadre juridique pour garantir la légalité et les chances de succès de votre mariage en Thaïlande.
Le Mariage en Thaïlande reconnu en France
Les époux qui décident de se marier en Thaïlande et de le légaliser dans leur pays d’origine font des démarches de culture, de tradition, ainsi que de processus légaux. Ce processus spectaculaire nous aidera à examiner les étapes qui unissent deux mondes. Dans cet article, on va décrire le mariage dans un pays étranger et la légalisation en France. Donc, le mariage en Thaïlande reconnu en France suit certaines réglementations.
Divorcer en Thaïlande
Au sein du cabinet d’avocats Benoit & Partners, nous sommes conscients que la Thaïlande est un pays où les mariages entre ressortissants étrangers et thaïlandais sont fréquents. Cependant, il est important de reconnaître que, tout comme les mariages, divorcer en Thaïlande est également courant et peuvent présenter des défis juridiques spécifiques.
En Thaïlande, les couples internationaux peuvent faire face à des difficultés lorsqu’ils envisagent de mettre fin à leur mariage. Les différences culturelles, les barrières linguistiques et les systèmes juridiques distincts peuvent rendre le processus complexe. Mais aussi déroutant pour les personnes concernées. C’est dans ce contexte que Benoit & Partners se définit comme un partenaire de confiance pour guider nos clients durant leur parcours pour divorcer en Thaïlande.
◊ En savoir plus sur Thaïlande mariage
Les réglementations pour se marier en Thaïlande sont présentées dans le Code civil de la Thaïlande. Il régit l’ensemble des aspects légaux et administratifs du mariage. Notamment, les réglementations suivantes sont nécessaires:
- Âge légal : Les candidats au mariage doivent avoir un minimum de 17 ans pour se marier en Thaïlande. Cependant, si l’un des candidats a entre 17 et 20 ans, ils doivent obtenir le consentement de l’un de leurs parents ou de leur tuteur s’ils souhaitent se marier. Les Thaïlandais âgés de moins de 17 ans n’ont pas le droit de se marier sans décision judiciaire les autorisant à s’unir aux yeux de la loi.
- Consentement libre et éclairé : Les fiancés doivent accepter leur mariage de manière volontaire. Autrement dit, un mariage forcé ou une décision de mariage prononcée par l’une des parties contre son gré est réputée nulle et non avenue.
- Interdiction de la bigamie et de la polygamie : La bigamie n’est pas autorisée si l’épouse abandonnée est séparée depuis moins d’une d’année. La Thaïlande interdit toute action légale telle que la polygamie. Elle oblige les époux et conjoints qui souhaitent se marier à divorcer ou à annuler le mariage existant en vertu des lois existantes.
- Interdiction des mariages entre proches : Les familles qui ont un lien de parenté, telles que des parents biologiques, des demi-frères et sœurs acquis après le décès des pères, des frères et sœurs, des parents et plusieurs autres ne sont pas autorisés à se marier.
- Enregistrement du mariage : Un mariage qui a été officiellement enregistré aux bureaux du district local où réside le marié et la mariée est légal. Le transfert dépend de l’emplacement où ils se trouvent. Une fois qu’il a été établi que les époux ont droit au mariage, ils ont droit à une attestation de mariage et à un document de mariage.
- Mariages mixtes : Si l’un des individus qui veut se marier en Thaïlande est un ressortissant étranger, il devra présenter un document de son ambassade prouvant qu’il a le droit de se marier en vertu de la loi étrangère.
- Propriété et biens matrimoniaux : Le régime matrimonial par défaut en Thaïlande est celui de la séparation des biens. Cela signifie que les biens acquis avant le mariage ou hérités pendant le mariage restent la propriété individuelle de chaque conjoint. Cependant, les couples peuvent choisir de modifier ce régime en concluant un contrat prénuptial.
Il est important de suivre les lois et les règlements lors du mariage en Thaïlande pour que l’union soit reconnue comme légale. Les lois et les règlements changeant fréquemment, il vaut mieux consulter les autorités administratives ou un cabinet d’avocats spécialisé en droit de la famille pour avoir des renseignements actuels et personnels avant le mariage.
En Thaïlande, le mariage est possible pour les personnes qui remplissent certaines conditions spécifiques. Les principales exigences auxquelles doivent satisfaire les futurs époux sont les suivantes :
- Âge légal : Les candidats au mariage doivent être âgés d’au moins 17 ans pour qu’un mariage en Thaïlande soit valide. Néanmoins, si l’un des candidats au mariage a entre 17 et 20 ans, il doit obtenir l’autorisation de ses parents ou de ses tuteurs légaux pour se marier. Les Thaïlandais qui n’ont pas encore atteint l’âge de 17 ans ne peuvent pas se marier sauf autorisation spéciale du tribunal.
- Consentement libre et éclairé : Les futurs époux doivent donner leur consentement éclairé et volontaire pour pouvoir se marier. Le mariage ne peut pas être contracté si l’une des parties est sous contrainte ou incapable de comprendre ce qu’être marié signifie.
- Célibat : Les personnes qui souhaitent se marier légalement en Thaïlande doivent être célibataires et ne peuvent pas être mariées. Si l’un des candidats est marié, il doit prouver au juge que ce mariage a été dissous par le divorce, la séparation ou la mort du conjoint.
- Interdiction des mariages entre proches : Les relations familiales, telles que le mariage entre frères et sœurs, demi-frères et demi-sœurs, père et fille, etc., sont interdites par la législation thaïlandaise.
- Capacité mentale : Les candidats au mariage doivent être sains d’esprit et être suffisamment conscients et capables de donner un consentement éclairé.
- Capacité légale : Si l’une des parties est étrangère, elle doit également se conformer aux lois du pays d’origine en ce qui concerne la célébration du mariage en Thaïlande. Le partenaire étranger peut pour cela se voir délivrer à l’ambassade ou au consulat de son pays en Thaïlande un certificat de capacité à se marier.
En Thaïlande, un contrat de mariage, aussi connu comme un contrat prénuptial, n’est pas requis par la loi . Le régime matrimonial en Thaïlande par défaut est le régime de séparation des biens. Cela signifie que les biens acquis avant le mariage ou en héritage durant celui-ci demeurent la propriété individuelle du conjoint qui les a reçus en bien. Par conséquent, en l’absence d’un contrat de mariage, les biens des époux demeurent séparés. En outre, il n’y a pas de partage automatique des biens acquis pendant le mariage.
Pourtant, de nombreux couples internationaux et thaïlandais préfèrent rédiger un contrat de mariage pour établir le régime matrimonial spécifique et prévoir la répartition des biens en Thaïlande en cas de divorce ou de décès. Les situations suivantes où un contrat de mariage peut s’avérer utile :
- Mariages mixtes : Dans ce type de mariage, il peut être bien venu d’utiliser un contrat de mariage pour préciser les droits des parties. Ils pourraient inclure des dispositions sur l’héritage conformément aux lois du pays du conjoint étranger.
- Protection des actifs : Il est possible d’actionner un contrat de mariage en Thaïlande pour protéger toute la propriété acquise avant le mariage. Par exemple, un appartement d’une des parties ou une entreprise privée.
- Partage équitable : Les parties pourraient planifier un partage équitable de l’acquis pendant le mariage entre eux. De plus, ces règles pourraient être indépendantes de la loi stricte sur les mariages séparés.
- Succession : Les parties pourraient prévoir des dispositions sur les successions dans un contrat de mariage. Il s’agit par exemple de protéger les enfants de l’un des époux nés d’un autre mariage.
Lorsqu’il les époux décident de rédiger un contrat de mariage commun en Thaïlande, il est recommandé de le faire avant le mariage. Par ailleurs, il faut consulter un avocat qui se spécialise en droit matrimonial. Dans ce cas, le contrat sera valable du point de vue juridique et il correspondra aux besoins et aux préférences du couple. Les époux ont aussi le droit de le faire enregistrer pour qu’il puisse être opposable contre tiers ou exécutoire dans les cas de besoin.
Le processus de mariage en Thaïlande peut varier en fonction de la nationalité des futurs mariés. Il existe cependant quelques lignes directrices générales pour le mariage en Thaïlande :
- Étape 1. Obtenir les documents requis : Avant de se marier en Thaïlande, les futurs mariés doivent obtenir certains documents. Il peut s’agir de leurs passeports et de leurs certificats de naissance. Les preuves de divorce ou de décès de leur conjoint précédent dans le cas où ils étaient mariés, et d’autres documents qui peuvent être requis par les autorités thaïlandaises.
- Étape 2. Traduction des documents : Les futurs mariés doivent faire traduire leurs documents en thaï par un traducteur agréé par l’ambassade ou le consulat thaïlandais.
- Étape 3. Certificat de capacité à se marier : Les étrangers qui souhaitent se marier en Thaïlande peuvent être tenus de fournir un certificat de capacité à se marier qui est délivré par leur ambassade ou leur consulat en Thaïlande. Les exigences peuvent varier en fonction de la nationalité, il est donc conseillé de contacter l’ambassade ou le consulat compétent.
- Étape 4. Enregistrement du mariage : Le mariage doit être enregistré auprès de l’Amphur local où l’un des futurs conjoints réside. Les deux parties doivent être présentes pour l’enregistrement et les deux parties doivent avoir 17 ans ou plus. Sauf dans le cas où il y a une procuration valable pour ne pas être présent et le ou la partenaire est majeur, par exemple, pour des raisons médicales.
- Étape 5. Cérémonie de mariage : Une cérémonie de mariage traditionnelle thaïlandaise ou une cérémonie civile peut avoir lieu dans un hôtel ou une autre installation. Certains hôtels ou établissements qui accueillent des mariages peuvent également faciliter l’enregistrement du mariage auprès des autorités locales. Cela peut être suivi d’un dîner ou d’une soirée.
- Étape 6. Témoins : Il est généralement requis d’avoir deux témoins présents lors de la cérémonie de mariage.
- Étape 7. Enregistrement du mariage : Une fois la cérémonie de mariage terminée, le mariage sera enregistré dans le registre de l’état civil. Le certificat de mariage sera alors remis aux conjoints.
Il est important de noter que des exigences supplémentaires et des procédures différentes peuvent s’appliquer en fonction de la nationalité des futurs mariés et des régions thaïlandaises. Il est donc recommandé de contacter l’ambassade ou le consulat thaïlandais dans le pays respectif. Ainsi que les autorités locales thaïlandaises. Pour obtenir des conseils spécifiques sur le processus de mariage en Thaïlande. De plus, si vous envisagez de vous marier en Thaïlande. Il est recommandé de contacter un avocat spécialisé en droit de la famille . Pour obtenir une assistance juridique professionnelle tout au long du processus.
Pour enregistrer un mariage en Thaïlande, suivez ces étapes générales :
- Étape 1. Obtenir les documents requis : Avant de pouvoir enregistrer votre mariage, vous devez avoir les documents nécessaires. Ceux-ci peuvent inclure des passeports valides, des certificats de naissance, des preuves de divorce en Thaïlande ou de décès, une capacité à se marier et d’autres documents. De plus, assurez-vous d’avoir des copies certifiées conformes de tous les documents demandés.
- Étape 2. Se rendre à l’Amphur (district) : Le mariage doit être enregistré à l’Amphur ou au District Office où l’un des partenaires a sa résidence. Les deux personnes devront se rendre à l’Amphur pour leur mariage. Cependant, ils n’ont pas besoin de le faire s’il existe une raison valable pour ne pas être présent. Par exemple, la maladie.
- Étape 3. Présenter les documents : Présentez tous les documents demandés au bureau d’enregistrement de la province. Notez que les documents non thaïlandais doivent être traduits en thaïlandais par un traducteur agréé par l’ambassade ou le consulat thaïlandais.
- Étape 4. Témoins : Vous aurez besoin de fournir le témoignage écrit de deux à quatre personnes qui connaissent les personnes personnellement. Ils devraient confirmer leur identité et leur capacité à se marier.
- Étape 5. Cérémonie : Le mariage civil peut être célébré par le fonctionnaire de l’état civil au bureau d’enregistrement publiquement. Une fois la cérémonie terminée, le couple se verra remettre leur acte de mariage.
- Étape 6. Enregistrement du mariage : Le mariage sera alors enregistré dans le registre de l’état civil après la célébration de la cérémonie de mariage. Seulement après cela, les conjoints peuvent obtenir leur certificat de mariage.
- Étape 7. Traduction du certificat : Si vous avez besoin de la traduction du certificat de mariage dans une autre langue, un traducteur agréé peut s’en occuper.
Notez que les exigences et les procédures peuvent légèrement varier selon la région et la nationalité des conjoints. Pour obtenir des informations précises et actuelles sur la procédure, veuillez contacter le bureau d’enregistrement local ou consulter un avocat qui se spécialise dans le droit de la famille.
Il existe divers types de mariage en Thaïlande, en fonction de votre type de mariage en Thaïlande et de votre situation spécifique de couple, la procédure pour divorcer en Thaïlande peut varier. Voici les étapes générales auxquelles vous pouvez vous attendre de la part d’un procédure de divorce en Thaïlande :
- Étape 1. Consultation juridique : Avant d’envisager une procédure de divorce, il est recommandé de consulter un avocat en droit familial en Thaïlande. L’avocat pourra vous conseiller sur les étapes de la procédure et sur les options disponibles.
- Étape 2. Médiation (facultative) : Dans certains cas, le tribunal peut exiger une médiation entre les parties pour tenter de résoudre les différends avant d’autoriser la procédure de divorce.
- Étape 3. Demande de divorce : L’une des parties doit déposer une demande de divorce auprès de la juridiction compétente. La demande de divorce peut être une demande de divorce :
- Par consentement mutuel où les deux parties acceptent de divorcer et soumettent une demande conjointe ;
- Contestée, lorsque l’une des deux parties invoque des motifs légaux de divorce et dépose une requête pour leur reconnaissance.
- Étape 4. Motifs de divorce : Les motifs de divorce en Thaïlande peuvent être l’adultère, l’abandon et la violence d’un conjoint. De même que l’incapacité mentale, la maladie incurable, l’emprisonnement et autres. Le demandeur doit fournir des preuves justifiant les motifs du divorce.
- Étape 5. Audience devant le tribunal : Lorsque la demande de divorce est déposée, le tribunal fixe l’audition. L’audience est convoquée pour que les deux parties puissent exposer leurs positions et arguments. Les preuves et les témoignages seront examinés par le tribunal pour prendre sa décision.
- Étape 6. Décision de divorce : Avec un divorce, le tribunal peut également décider d’une division des biens du mariage. Aussi que les obligations des parents si les parties ont des enfants en commun.
- Étape 7. Répartition des biens et des responsabilités : En cas de divorce, le tribunal peut également prendre des décisions concernant la répartition des biens matrimoniaux. Mais aussi au sujet des responsabilités parentales si des enfants sont impliqués.Étape 8. Enregistrement du divorce : Dès que le jugement est rendu, il devra être enregistré à l’amphur auprès duquel le mariage a été enregistré. L’enregistrement sera la fin officielle du mariage.
Il faut garder à l’esprit que les procédures de divorce peuvent être compliquées et qu’elles peuvent prendre du temps en fonction des circonstances de chaque cas. C’est pourquoi il est recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit familial en Thaïlande pour obtenir un soutien professionnel pendant toute la période du divorce .
En Thaïlande, la succession est le processus au cours duquel les biens d’une personne décédée passent aux mains de ses héritiers ou de ses bénéficiaires conformément à la loi thaïlandaise. Voici comment généralement se passe la procédure :
- Ouverture de la succession : Dès qu’une personne meurt en Thaïlande, sa succession est ouverte. Les héritiers ou les bénéficiaires doivent prendre des mesures pour apurer la succession.
- Détermination de l’héritage : La première étape est de déterminer l’existence et la valeur de l’actif sur succession du défunt. Cela comprend tous les biens, les actifs financiers, les propriétés immobilières, mais aussi les dettes et les obligations du défunt.
- Déclaration de succession : Les héritiers ou les bénéficiaires sont tenus de déposer une déclaration fiscale de succession , dans les six mois suivant le décès. Cette déclaration devrait inclure la valeur des actifs de la succession. Mais aussi les droits de succession qui y sont applicables.
- Règlement de la succession : Si le défunt avait un testament, celui-ci passera en application suivant ses termes. Si le défunt n’avait pas un testament, la loi de la succession intestat s’appliquera; le soit la loi thaïlandaise.
- Partage des biens : Après avoir clôturé la succession; les biens du défunt seront partagés entre les héritiers ou les bénéficiaires suivant la loi thaïlandaise. Cette division dépend de la composition de la famille du défunt ; mais aussi des règles de succession intestat.
- Paiement des droits de succession : Si des droits de succession sont dus, les héritiers ou les bénéficiaires devraient s’occuper de les régler dans les délais prescrits par la loi.
Il faut noter que le processus de succession en Thaïlande peut être très compliqué. Notamment pour les étrangers, puisque les lois thaïlandaises pourraient différer des lois de leurs propres pays. C’est pour cela qui est recommandé de consulter un avocat spécialisé dans la pratique du droit de la succession en Thaïlande. Ainsi les héritiers et les bénéficiaires pourront bénéficier d’un bon conseil juridique et de l’aide professionnelle pour gérer toute la procédure du règlement de la succession. En outre, les personnes devraient aussi envisager de rédiger un testament en Thaïlande. C’est étant, d’une part, pour faciliter le processus de transmission de leurs biens. Mais, d’une autre part, pour s’assurer que leurs biens passeront exactement à ceux qu’ils choisissent.
Il est essentiel de faire un testament en Thaïlande. Dans tous les cas, surtout si vous êtes un étranger résidant dans le pays ou si vous avez des biens en Thaïlande. Les raisons suivantes impliquent la nécessité de faire un testament en Thaïlande :
- Contrôle de la succession : Tout d’abord, un testament vous permet de contrôler ce qui se passera de vos biens en Thaïlande après votre décès. Sans testament, ils seront répartis selon les lois de la Thaïlande relatives à la succession intestat, ce qui peut ne pas répondre à vos attentes.
- Loi sur la succession mixte : Si vous êtes un étranger vivant en Thaïlande parce que les lois thaïlandaises des biens autorisent le concept de “succession mixte”. Ainsi, vos biens en Thaïlande seront régis par les lois de la Thaïlande en ce qui concerne les biens situés en Thaïlande. Mais par les lois de votre pays d’origine en tant qu’étranger. Notez que la double juridiction peut être sujette à des interprétations erronées. Un testament clair peut donc préciser vos intentions en ce qui concerne les biens en Thaïlande.
- Désignation des bénéficiaires : Un testament vous permet également de décider qui recevra vos biens en Thaïlande. Par exemple, vous pouvez exclure intentionnellement certains membres de la famille et les remplacer par d’autres. Ou répartir la propriété non seulement entre les membres de la famille, mais aussi entre les amis ou les organisations caritatives.
- Économies d’impôts : Un testament bien rédigé ouvre la possibilité de réduire la taxe de succession et d’accroître dans une large mesure les avantages fiscaux des bénéficiaires.
- Protection des enfants mineurs : Si vous avez des enfants mineurs en Thaïlande, un testament peut vous permettre de désigner un tuteur légal pour s’occuper d’eux en cas de décès.
- Prévention des conflits familiaux : Un testament clair et bien rédigé peut aider à prévenir les conflits familiaux. Mais aussi les litiges entre les bénéficiaires après votre décès.
- Paix d’esprit : Rédiger un testament en Thaïlande vous donne la tranquillité d’esprit en sachant que vos biens seront distribués selon vos souhaits.
Dans tous les cas, nous vous recommandons fortement de contacter un avocat spécialisé dans le droit de la succession en Thaïlande pour élaborer un testament conforme à la législation locale.